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Agitateur au sein de la scène musicale parisienne depuis une bonne quinzaine d’années déjà, Julien Gaulier a tout connu : ses premiers groupes punk, British Hawaii en tête, ont arpenté tout ce que la capitale connaît de caves humides. Puis, avec le duo Hey Hey My My, c’est la reconnaissance et le succès, plusieurs tournées à travers la France, et deux albums de folk-pop qui auront marqué les esprits. A la fin de cette belle histoire Julien prend la tête du trio Mother of Two et sonne le retour à l’électricité et la fureur des débuts. Retour dans les caves donc,
… mais pas pour longtemps : le groupe se fait remarquer avec son rock dynamique, propice à la fête et aux épanchements nocturnes, et les tournées et les premiers EPs s’enchaînent.
Sur le premier album de Mother of Two, devenu entre temps un projet solo, Julien, seul, se met en avant, pour la première fois.
Et c’est son amour de la Pop (avec un grand P) qui l’a notamment guidé dans l’écriture de cet album. En replongeant dans sa collection de disques patiemment amassée depuis l’enfance, il a puisé ici et là, les jalons incontournables d’une éducation musicale éclatée sur plusieurs décennies. Ainsi, qu’elle soit mélodique, rêche, torturée, inventive ou furieuse, la Pop s’envisage ici comme une réunion de famille, où l’on croise à la fois des idoles de jeunesses toujours dignes (Frank Black, Neil Young), mais également des nouvelles têtes au goût très sur, qui ont, comme Julien, un avis bien tranché sur la chose Pop (Baxter Dury, Kurt Vile, Bill Callahan).
L’écoute de « Being nice doesn’t pay » s’envisage aussi comme une relecture de ses différentes expérience musicales et l’ombre de ses projets passés planent tout au long de l’album. On y danse furieusement jusqu’au petit matin (Your eyes inside my head, Fired you are) et on y chante à tue-tête des mélodies sucrées qui collent au palais (Wasted times, Looking at the sun) ; parfois, le ton est plus grave et les constats se font plus amers (199094, That train) mais on trouve finalement le réconfort en se blottissant contre l’être aimé(e), sans penser au lendemain (Week-end lovers).
Ce premier album de Mother of Two est ainsi double, voire multiple : nul doute que chacun y retrouvera, au détour d’un refrain ou d’une ligne mélodique, une part de son identité (musicale ou non). Julien, lui, y a retrouvé le sourire, et cela s’entend.Lire la suiteLire moinsSTREAM
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